Fight Club : le Test Blu-Ray est en ligne !

'Fight Club' fait partie des grosses éditions Blu-Ray Disc de ce mois de novembre. Nous avions eu le privilège de faire partie des premiers privilégiés à consulter ce disque et dès les premiers instants, nous avions perçu un potentiel énorme : une section audio monumentale qui frôle parfois l'indescriptible.
Voir : Fight Club : un futur Blu-Ray de démo !

Aujourd'hui, à l'occasion de la sortie du Blu-Ray sur le marché français, nous vous offrons notre chronique complète du film de 1999, un test qui pour l'occasion est assez chargé (6 pages). On ne pouvait pas faire autrement tant le film de Fincher est devenu à la fois culte et dans une certaine mesure très complexe à analyser.

C'est Fox qui nous offre cette édition Blu-Ray à l'occasion du 10ème anniversaire du film. Dérangeant, 'Fight Club' est inconfortable. C'est un film qui critique le système mais pas uniquement. C'est aussi une oeuvre coup de poing qui a pour objectif d'éveiller nos consciences. Mais à quoi ?

Notre chronique est disponible depuis la page suivante : Test Blu-Ray : Fight Club

Bonne lecture et surtout n'achetez pas ce Blu-ray car vous ne ferez qu'engraisser la grosse vache capitaliste ! (Non c'est une blague : c'est une excellente édition !).

Synopsis

Le narrateur, sans identité précise, vit seul, travaille seul, dort seul, mange seul ses plateaux-repas pour une personne comme beaucoup d'autres personnes seules qui connaissent la misère humaine, morale et sexuelle. C'est pourquoi il va devenir membre du Fight club, un lieu clandestin ou il va pouvoir retrouver sa virilité, l'échange et la communication. Ce club est dirigé par Tyler Durden, une sorte d'anarchiste entre gourou et philosophe qui prêche l'amour de son prochain.

En tant que simple produit cinématographique, machine illusoire qui n’est présente que pour nous maintenir dans un état insomniaque qu’apprécie notre mental, deux choix s’imposent : rejeter le film ("Ce film est antisocial, anti-dieu, fachiste, brutal..." ^^) ou se laisser endormir par cette magie hollywoodienne comme on a coutume de le faire (on resterait là dans un état second de passivité féminine sans finalement rien comprendre). On émettra une autre proposition en tenant compte de l’éveil expérimenté par le protagoniste du film et exposé ici : 'Fight Club' n’est qu’une illusion parmi d’autres, une grosse blague. Ayons simplement le discernement de l’apprécier comme telle. Lire la suite